« Mon engagement passe par le fait de m’informer et de discuter avec d’autres pour faire avancer ma réflexion. L’échange est un moyen de lutte ! »
« Je veux pouvoir me retourner et me dire que j’ai fait tout ce que je pouvais pour que ça change »
« En tant que petite productrice isolée, les conditions étaient très difficiles, et je n’avais pas les moyens d’investir dans un outil de production comme une presse mécanisée. Depuis que j’ai rejoint la coopérative, j’ai pu renforcer ma production, ce qui m’aide à subvenir aux besoins de la famille. »
« La vente des œufs de mes poules sur le marché me permet de vivre dignement. Je suis heureuse de continuer d’avancer et de faire évoluer mon activité pour ma famille et ma communauté. »
« Nous avions lancé une campagne externe intitulé : 11.11.11, oui mais… Nous voulions par-là insister sur l’importance de ne pas se limiter à financer des projets dans le tiers-monde, mais d’aussi interpeller les décideurs politiques »
« J’ai pu voir concrètement les résultats des fonds auxquels j’ai contribué à récolter avec Vie Féminine, en visitant un projet de formation professionnelle financé par l’Opération 11.11.11. Ce projet a permis à de nombreuses jeunes filles d’obtenir un diplôme et, par la suite, un emploi. »
« Le porte-à-porte est la méthode la plus efficace pour récolter des dons, mais il est nettement plus facile de réunir des bénévoles autour d’une action en lien avec le chocolat »
« Une de mes plus grandes motivations est d’offrir aux consommateurs des produits sains, car je vois qu’ils leur plaisent ! »
« En donnant à l’Opération 11.11.11, on soutient plusieurs ONG à la fois, y compris des toutes petites structures inconnues du grand public et dont le travail est pourtant très important »
« Le plus important pour nous est que ces femmes sentent qu’elles ont un pouvoir dans la société, que ce qu’elles pensent et ce qu’elles font, pourra changer l’histoire du Congo. Nos formations préparent les femmes à lutter contre les violences qu’on exerce sur elles. »
« Lorsque je vends pour l’Opération au Parvis de Saint-Gilles, je redécouvre mon quartier, je vois de nouveaux visages et partage de chouette moments, c’est vraiment très agréable »
« Le soutien nous permet de réfléchir et d’aller vers notre autonomisation dans la perspective de la fin, un jour, de l’appui financier et technique du CNCD-11.11.11. »
« La problématique des enfants en situation de rue a émergé à la fin des années 1980 en même temps que l’explosion urbaine. Dans le même temps, on assiste au déclin de la solidarité. Les enfants, jusque-là sous la houlette de la communauté, ne sont plus pris en charge que par le cercle familial ». Tombent par la même occasion les « filets sociaux permettant de gérer les situations de violence intrafamiliale ».
« Victimes de pauvreté, de violence, d’exclusion, de stigmatisation, les enfants des rues quittent leur milieu familial afin d’éviter de subir ou d’assister à des violences. On trouve aussi en rue des enfants issus de familles mendiantes ou encore des enfants loués pour mendier »
Le SPONG et ses 298 organisations membres sont confrontés à « l’énormité des besoins face à l’inexistence des moyens ». Fondé en 1974 pour répondre à la grande sécheresse qui avait touché les États du Sahel, le SPONG avait ensuite pu se concentrer sur des activités de développement, mais doit désormais répondre à l’urgence des besoins humanitaires.
« Avant, je prenais des antibiotiques quand j’avais des douleurs abdominales. Lors d’une sensibilisation à l’école, on nous a expliqué qu’elles peuvent être liées aux règles ou être des signes d’infection. »
« 112 000, c’est le nombre de personnes qui se trouvent sur le sol belge sans document de séjour. Le fait de les représenter concrètement au travers de ces colsons permet de remettre l’humain derrière les statistiques »
« Grâce aux nouvelles techniques de production en agroécologie que j’ai apprises, j’ai pu augmenter le rendement de mes activités de production et je peux subvenir à mes besoins tout en étant autonome sur le plan alimentaire, car la majorité des produits que je consomme proviennent de mon jardin ».
« Aujourd’hui, je suis indépendante. C’est un rêve qui s’est réalisé pour moi ! ».
« Nous avons réussi à faire refuser aux États africains de signer les accords sous la forme que l’Union européenne voulait leur imposer. »
« Lorsque vous parvenez à rassembler 150 personnes pour chanter un répertoire commun, vous avez là un instant puissant, qui vous permet de livrer votre message au plus grand nombre ».
"Les produits se vendent bien, ne sont pas trop chers. Notre clientèle est particulièrement consciente de faire un don de 6€ pour une tablette de chocolat au profit de l’Opération 11.11.11. Le livre de cuisine correspond à notre public. Nous avons d’ailleurs un nouveau présentoir à livres depuis peu qui permet une bonne visibilité.
Un conseil ? Tendre vers le zéro déchet en ce qui concerne l’emballage du chocolat et idem pour le titre d’un prochain livre de cuisine."
« Je suis en grande colère » contre la décision du gouvernement de ne pas respecter les décisions de justice en matière d’accueil des demandeurs d’asile. « C’est gravissime. La démocratie se détruit par petites touches ».
« On a aussi la possibilité d’échanger avec des agriculteurs en bio. Et c’est vraiment touchant car ils nous expliquent comment ils ressentent la crise climatique, comment ils se sentent impuissants et seuls par rapport à cela. Mais cela donne de la force ... »
A travers le monde, 2/3 des personnes qui n’ont pas eu accès à l’éducation dans le monde sont des femmes. Dans de nombreux endroits de la planète, aller à l’école est plus difficile pour les filles que pour les garçons. C’est avec leur cause en tête qu’Orianne a décidé de lever des fonds.
« Ce que je demande, c’est le droit pour les Palestiniens de vivre une vie décente. De pouvoir avoir un travail, tomber amoureux, fonder une famille. D’avoir le droit d’avoir des droits. C’est devenu aussi simple, et aussi compliqué, que cela. »
« La migration irrégulière, on ne peut pas l’arrêter. On ne peut pas arrêter la mer avec ses bras ». Ouvrir la migration du travail est la seule solution »
« Nous avons par exemple des pharmaciens, des bouchers, des boulangers et des médecins qui sont devenus des relais de l’Opération 11.11.11. Eux savent vers qui il est plus pertinent de se tourner. Mon conseil est de cibler les ventes ! »
Hommage à la première présidente du CNCD-11.11.11 dont la lutte pour l’égalité, sous toutes ses formes, a marqué sa vie.
« Ce camp m’a permis de m’affirmer en tant que clim’activiste et de m’assurer que j’étais tout à fait légitime de secouer un bon coup nos politiciens ».
« La justice fiscale, ça me mobilise vachement, parce que c’est la clé de tout. La finance, c’est le nerf de la guerre. Le fric, il faut aller le chercher ! »
« La migration est un sujet qui me tient particulièrement à cœur. J’ai donc réuni un petit groupe de bénévoles sur Wanze pour interpeler la commune qui a, depuis lors, adopté une motion et surtout mis en place une commission afin de la mettre en œuvre ».
« Il y a de plus en plus de chômage et beaucoup de gens débarquent de la campagne à la recherche d’un job. si tu n’es pas d’accord, on te vire car il y a dix candidats pour prendre ta place »
Courir, une activité solitaire ? A première vue, seulement ! Ils sont nombreux ceux qui font rimer leur pratique sportive avec un engagement citoyen.
Son engagement avec le CNCD-11.11.11 ? « Au départ, tout simplement parce que quelqu’un est venu me le demander ».
« Il faut agir sur tous les fronts. Et puis, une façon d’aborder les enjeux de manière globale qui fait trop souvent défaut en politique et qui me parle. »
« Le fait que le CNCD-11.11.11 soit une coupole permet d’agir en faveur de plusieurs ONG en même temps... Comme volontaire, on apporte sa pierre à un édifice solide. Pas question de réinventer l’eau chaude ou de construire un puit seul dans le désert. Les projets sont crédibles. »
« L’action du CNCD-11.11.11 ? Cela colle avec ce que je pense : il faut plus d’égalité entre le Nord et le Sud. Beaucoup le pensent, mais il faut faire quelque chose choses pour que ça bouge. Dire ça comme ça, ça fait naïf. Moi je crois que c’est possible, même si le fossé est grand. Il y a du chemin à parcourir. »
« Les projets répondent aux besoins des gens, ils sont centrés sur la santé, l’eau, les conditions de vie, les droits de l’homme, des besoins essentiels. Mais ce n’est pas de la charité. »