Cliché des Assises 2021 de la Coopération non-gouvernementale
Cliché des Assises 2021 de la Coopération non-gouvernementale

Le CNCD-11.11.11 et ACODEV organisent les 11 et 12 septembre une nouvelle édition des Assises de la coopération internationale. Deux jours pour analyser avec des expert·es et des acteurs·rices de la Coopération les grandes évolutions du contexte international et questionner les visions et pratiques des acteur·rices du secteur de la solidarité internationale. Cet événement est complet !

Cet événement est complet !

Présentation

Le CNCD-11.11.11 organise tous les cinq ans des Assises de la coopération internationale [ voir l’édition précédente en 2021 ], qui sont l’occasion pour ses membres, mais plus largement pour les acteurs de la coopération au développement coopération au développement
aide publique au développement
aide au développement
, de questionner leur vision et leurs pratiques au regard des principales évolutions du contexte belge et international.

Ce processus est appelé à déboucher sur une actualisation de la Charte politique de la coupole sur base de la déclaration finale ces Assises.

Suite à la création d’une co-association entre le CNCD-11.11.11 et ACODEV, les Assises sont organisées non plus par la seule coupole, mais par la co-association, afin d’articuler les enjeux sectoriels aux enjeux politiques.

Les Assises se déroulent durant deux jours, les jeudi 11 et vendredi 12 septembre 2025. Le premier jour a pour but de dresser un bilan académique de l’évolution du contexte international, via des panels d’experts sur les questions abordées. Le deuxième jour porte sur les implications de l’évolution du contexte international pour les ONG et les acteurs de la coopération internationale, afin d’être en mesure d’adapter en conséquence leurs discours, leurs pratiques et leurs partenariats.

Les Assises se terminent par une déclaration finale qui synthétise la vision des ONG et des acteurs de la coopération internationale pour s’adapter à l’évolution du contexte international.

Le contexte international

Les Assises 2025 se déroulent dans un contexte international marqué par la montée du nationalisme, les rivalités géostratégiques et la multiplication des conflits dans un monde inégalitaire mais en basculement. L’hégémonie occidentale est mise à mal par la montée en puissance de la Chine et des BRICS+, sans que cela débouche sur une alternative pour un monde juste et durable. La rivalité croissante entre les Etats-Unis et la Chine provoque une guerre commerciale et technologique pour dominer l’économie digitale et les technologies vertes.

L’économie mondiale et les populations du Nord comme du Sud subissent les contre-coups de la pandémie de Covid-19 Covid-19
Coronavirus
covid-19
coronavirus
, des guerres, de la crise énergétique, des dérèglements climatiques et de l’inflation.

Dans ce contexte, l’Union européenne est de plus en plus tentée par le repli nationaliste. L’économie européenne, pénalisée par des règles budgétaires trop rigides et sa naïveté libre-échangiste face aux Etats-Unis et à la Chine qui protègent et subsidient leurs entreprises stratégiques, est menacée de décrochage. Obsédée par la lutte contre l’immigration et l’accès aux minerais stratégiques, elle s’avère incapable de construire un véritable partenariat stratégique pour le développement durable avec l’Afrique, de plus en plus attirée dans l’orbite de la Chine et de la Russie.

Le contexte international de plus en plus instable et dangereux s’accompagne d’un nivellement par le bas en matière de démocratie et de respect du droit international, des droits humains et du droit humanitaire. Alors que la démocratie illibérale monte aux Etats-Unis et en Europe, les BRICS+ rassemblent des gouvernements parmi les plus autoritaires de la planète. Les organisations de la société civile et les défenseurs des droits humains sont de plus en plus menacés par des législations liberticides adoptées par des gouvernements autoritaires et la sécurité du personnel humanitaire n’est plus garantie dans un nombre croissant de pays.

La solidarité internationale est mise à mal par l’agenda national-populiste qui prône le repli identitaire, la fin du droit d’asile, la réduction drastique des budgets d’aide au développement et la remise en cause de la transition écologique et des objectifs de développement durable Objectifs de Développement Durable
Objectifs de développement durable
ODD
SDG
Les objectifs de développement durable (ODD), adoptés en 2015, constituent le cadre de référence des Nations unies pour le développement international. Ils remplacent les 8 objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), qui se focalisaient sur les seuls symptômes sociaux de la pauvreté dans les pays en développement, sans en interroger les causes structurelles. Principaux changements ? Tous les pays sont concernés et les objectifs, désormais au nombre de 17, sont déclinés en 169 cibles précises. Les ODD sont donc, en bref, l’horizon que s’est fixé l’ONU pour un développement harmonieux.

Ce programme est ambitieux, puisqu’il vise à généraliser à l’ensemble du monde le développement économique et social, tout en réduisant drastiquement les émissions de gaz à effet de serre et l’utilisation des ressources naturelles. Une perspective illusoire sans une transition rapide et radicale vers de nouveaux modèles de développement, à la fois plus pauvres en carbone, moins gourmands en matières premières et plus équitablement répartis.
. Dans des sociétés de plus en plus polarisées, les ONG et les acteurs de la coopération internationale doivent réinventer leurs discours et leurs alliances pour affirmer un projet de société et promouvoir un monde juste et durable fondé sur la solidarité, la coopération, le développement durable et la démocratie libérale.

Les ateliers préparatoires

Des ateliers préparatoires coordonnés par des personnes-ressources se penchent sur les différents sujets mis en débat.

L’objectif de ces ateliers est d’aboutir à des documents préparatoires permettant de faire un état des lieux exhaustif de la problématique et de poser les questions permettant d’aboutir à des recommandations concrètes dans le cadre des ateliers des Assises. Ces ateliers sont ouverts à tout représentant·e des organisations de la société civile et à tout·e citoyen·ne engagé·e dans la solidarité internationale. L’objectif est d’y réunir un maximum d’acteurs et d’actrices concernés par les enjeux spécifiques de chacun des ateliers.

Ces ateliers travaillent sous la supervision des Conseil d’administration et du bureau de la co-association. Les conclusions de ces ateliers seront utilisées par les instances du CNCD-11.11.11 et d’ACODEV pour les convertir en orientations stratégiques pour la période 2026-2030.

L’appel a ainsi été lancé au printemps aux représentant·es des ONG et autres ACNG, membres ou non de la coupole et de la fédération, pour qu’ils et elles s’inscrivent à un ou plusieurs ateliers préparatoires. LEs inscriptions sont clôturées.

Atelier « Fragilité et coopération au développement »

Comment coopérer et renforcer la paix, la reconstruction et le développement durable dans un monde de plus en plus conflictuel, en particulier dans le contexte de fragilité des pays partenaires de la Coopération belge  ?

Personne-ressource : Samantha Hobro, Chargée de Renforcement de capacités et GAR, ACODEV.

Contexte

Ces dernières années, la fragilité est devenue une préoccupation majeure dans le domaine de la coopération au développement. Le contexte international est de plus en plus marqué par des dynamiques de fragilité complexes, alimentées par des crises multiples : conflits armés, changement climatique Justice climatique
changement climatique
changements climatiques
, pandémies, crises économiques, etc. Les projections estiment qu’à l’horizon 2030, près de 80 % des populations les plus pauvres vivront dans des contextes fragiles, où les tensions démographiques et environnementales accroissent encore les risques de crises humanitaires. A l’heure actuelle, la fragilité est à la fois un facteur d’instabilité locale, régionale et internationale mais elle représente également un obstacle majeur à la réalisation des objectifs de l’Agenda 2030 Agenda 2030 .

Mais la fragilité qu’est-ce que c’est ? Si le concept de fragilité est dynamique et multidimensionnel il dispose également de bases légales notamment au niveau de la coopération belge. La loi de 2013 relative à la Coopération au Développement décrit la fragilité comme étant « la situation d’un État dans lequel le gouvernement et les institutions étatiques n’ont pas les moyens et/ou la volonté politique d’assurer la sécurité et la protection des citoyens, de gérer efficacement les affaires publiques et de lutter contre la pauvreté de la population ». Pour mesurer la fragilité d’un Etat, l’OCDE a établi une échelle en six dimensions. Actuellement, la Belgique fait le choix délibéré et soutenu par la société civile d’orienter sa coopération vers les pays fragiles : 11 des 14 pays partenaires de la coopération belge sont identifiés comme fragiles.

Cependant, mettre en œuvre des programmes de coopération dans des états fragiles pose une série de défis. De plus en plus d‘études se penchent sur la question afin d’identifier des clés pour améliorer l’impact des actions aux bénéfices des populations des pays fragiles. En 2024, le Service de l’Evaluation Spéciale de la coopération belge a notamment remis un rapport et des recommandations sur l’approche belge en matière de fragilité. Il souligne l’importance de mieux analyser les causes de la fragilité, la nécessité de développer l’approche Nexus Développement-Humanitaire-Paix, de cibler plus transversalement les jeunes, etc. Vu l’aggravation de la situation dans certains pays partenaires (notamment Mali, Niger, Burkina Faso, RDC, Palestine), il est de plus en plus crucial que notre secteur s’approprie mieux la question de la fragilité et adopte une approche volontaire et une feuille de route pour répondre à ses enjeux.

Atelier « Espace civique »

Comment pousser à la mise en œuvre d’alternatives progressistes et internationalistes dans un contexte où l’espace civique, la démocratie et la solidarité internationale sont de plus en plus menacés partout dans le monde  ? Comment agir dans un environnement sociétal aux règles du jeu faussées par la collusion entre politiques nationalistes et conservatrices d’une part et capitalisme de plateformes numériques d’autre part  ?

Personne-ressource : Timur Uluç, responsable du département Campagne au CNCD-11.11.11

Contexte

Face à un monde incertain, quelle place pour l’engagement progressiste et internationaliste ?

Le monde traverse une période d’instabilité croissante, marquée par une érosion des principes démocratiques et des droits humains. Ce phénomène touche tant les pays du Sud que du Nord, créant des défis majeurs pour la société civile, les défenseurs des droits humains et le personnel humanitaire. À l’échelle mondiale, nous assistons à la montée de régimes autoritaires, avec des démocraties illibérales et des gouvernements répressifs dans de nombreux pays.

Dans les pays du Sud, la situation est particulièrement complexe. Les guerres comme à Gaza ou en RD. Congo, mettent en danger le personnel humanitaire, dont la sécurité est de plus en plus compromise. En outre, certains régimes autoritaires limitent les accès humanitaires, entravant l’aide nécessaire aux populations vulnérables. La presse et les défenseurs des droits humains et militant·es pour la paix et la démocratie font également face à des risques. Ils et elles luttent contre la répression croissante de leurs actions.

Dans les pays du Nord, la situation est marquée par une montée des partis populistes et d’extrême droite, menaçant l’espace démocratique. En Europe, les lois liberticides sont proposées pour limiter la liberté d’expression et criminaliser les actions de la société civile, notamment celles des groupes environnementalistes. Ces évolutions, qui fragilisent les droits et libertés fondamentales, sont accentuées par une radicalisation des plateformes numériques, qui usent de leurs algorithmes pour favoriser des politiques conservatrices et néolibérales.

En Belgique plus spécifiquement, le recul de l’espace démocratique est visible dans les restrictions sur le droit de manifester et les pressions croissantes sur les ONG. Les mesures visant à limiter l’influence de la société civile dans les débats publics rendent l’action des défenseurs et défenseuses des droits humains de plus en plus difficile. La situation politique actuelle complique leur travail et représente une menace pour la mise en œuvre d’alternatives progressistes et internationalistes.

Au regard de ces constats, comment se mobiliser avec endurance, collectivement et solidairement ? Quelles stratégies (re)développer, en matière de mobilisation citoyenne, de plaidoyer, d’éducation formelle et populaire...? Quels sont outils seront nécessaires au développement d’une action forte et reconnue, tant en Belgique qu’à l’international ? Quelles postures adopter face à la confrontation d’un mouvement conservateur national et international ; et de la mainmise des grandes plateformes numériques ?

Atelier « Partenariats égalitaires »

Comment coopérer de manière égalitaire dans un contexte décolonial, de désoccidentalisation accélérée du monde  ? Comment renforcer les relations Europe/Afrique dans ce contexte ?

Personne-ressource : Nicolas Van Nuffel, responsable du Plaidoyer au CNCD-11.11.11

Contexte

Les relations de coopération entre pays du Nord et du Sud en général, en particulier entre l’Europe et l’Afrique, traversent une période de profondes transformations. Alors que le monde se désoccidentalise à un rythme accéléré, les dynamiques de pouvoir héritées de la colonisation sont de plus en plus contestées. C’est le cas dans les relations internationales, c’est aussi le cas de manière de plus en plus forte entre organisations de la société civile. Les organisations de solidarité internationales ont un rapport historiquement ambivalent à ces rapports coloniaux : pionnières de la contestation des relations de domination au niveau international, elles n’en courent pas moins le risque permanent de tomber dans des rapports inégalitaires, dus entre autres aux relations financières de donatrices à bénéficiaires. C’est pourquoi elles se doivent de questionner en permanence leurs pratiques pour construire des relations véritablement égalitaires avec leurs partenaires des autres continents.

Comment mettre en place des mécanismes qui nous obligent à nous questionner et nous laisser questionner en permanence ? Comment dépasser les schémas paternalistes et instaurer des formes de coopération respectueuses de l’autonomie et des priorités locales ? Comment inscrire nos actions dans une logique de réciprocité et de combat commun pour la justice plutôt que d’assistance ? Dans un contexte où de nouveaux acteurs émergent et où les pays et organisations du Sud redéfinissent leurs alliances et leurs places dans les alliances, comment établir un dialogue transparent et égalitaire, qui parvienne à affirmer les valeurs de notre Charte politique tout en étant à l’écoute du point de vue des organisations partenaires ?

Le programme

Jeudi 11 septembre 2025

9:00 Mot de bienvenue et Introduction aux enjeux des Assises 2025
9:30 Panel 1 : Basculement du monde, conflits et repli national-populiste : quelle place pour le développement durable et la solidarité internationale ?
Heidi Rombouts, Directrice générale de la DGD
Arnaud Zacharie Arnaud Zacharie , Secrétaire général du CNCD-11.11.11
Olivier Corten, Professeur de droit international à l’ULB.
11:00 Pause-café
11:15 Panel 2 : Guerre commerciale, dérégulation, austérité budgétaire et violation des droits humains : comment enrayer la course mondiale au moins-disant social, fiscal, environnemental et démocratique ?
Jézabel Couppey-Soubeyran, Maîtresse de conférences à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et Conseillère scientifique à l’Institut Veblen
Marek Hudon, Professeur à la Solvay Brussels School of Economics and Management (ULB), Professeur invité à l’Université de Paris-1 Sorbonne et Directeur du CEESE (Centre for Economic and Social Studies on the Environment).
12:45 Pause dînatoire
13:45 Panel 3 : Quel modèle de développement pour garantir une prospérité durable et partagée ? Quel partenariat UE-Afrique pour le développement durable ? Comment adapter les politiques de coopération internationale aux contextes de fragilité ?
Kako Nubupko, Professeur titulaire de sciences économiques à l’Université de Lomé et ancien Ministre de la prospective et de l’évaluation des politiques publiques du Togo.
Emmanuel Klimis, Professeur à l’UCLouvain.
15:15 Pause-café
15:30 Panel 4 : Faim, érosion de la biodiversité et dérèglement climatique : comment assurer une souveraineté alimentaire Souveraineté alimentaire durable et des financements climatiques suffisants ?
Saskia Colombant, Chargée de recherche chez IPES-Food (International Panel of Experts on Sustainable Food Systems).
Romain Weikmans, Chargé de cours en Relations internationales à l’Université libre de Bruxelles (ULB).

Vendredi 12 septembre 2025

9:00 Accueil
9:30 Panel en plénière : « Quelle stratégie des OSC pour promouvoir une alternative progressiste et internationaliste face au repli national-conservateur ?  »
Elise Derroitte, Vice-Présidente des Mutualités chrétiennes.
Florence Lepoivre, Présidente de la FGTB Bruxelles.
Carine Thibaut, Directrice générale d’Amnesty international-Belgique francophone.
Sotieta Ngo, Directrice générale du CIRE.
10:30 Pause-café
10:45 Travaux en ateliers
Atelier 1 - Fragilité et coopération au développement : comment coopérer et renforcer la paix, la reconstruction et le développement durable dans un monde de plus en plus conflictuel, en particulier dans le contexte de fragilité des pays partenaires de la Coopération belge ?
Atelier 2 - Espace civique : comment pousser à la mise en œuvre d’alternatives progressistes et internationalistes dans un contexte où l’espace civique, la démocratie et la solidarité internationale sont de plus en plus menacés partout dans le monde ? Comment agir dans un environnement sociétal aux règles du jeu faussées par la collusion entre politiques nationalistes et conservatrices d’une part et capitalisme de plateformes et société de la surveillance d’autre part ?
Atelier 3 - Partenariats égalitaires : comment coopérer de manière égalitaire et décoloniale dans un contexte de désoccidentalisation accélérée du monde ? Comment renforcer les relations Europe/Afrique dans ce contexte ?
12:45 Pause dînatoire
14:00 Panel en plénière : « Quel est le rôle de la coopération internationale dans un monde qui bascule ? » (avec des représentants de la Coopération belge)
Evelien Masschelein, Directrice Expertise chez ENABEL.
Joris Totté, Directeur de Bio Invest.
Farah Dehon, Directrice de la Coopération internationale de Wallonie-Bruxelles International (WBI)
Annick De Ruyver, Présidente du CNCD-11.11.11.
Arnaud Levêque, Président d’ACODEV.
15:30 Discours de Maxime Prévot, Ministre belge des Affaires étrangères et de la Coopération au développement.
16h00 Conclusion des Assises .

Les résultats attendus des Assises

  • Les Assises elles-mêmes auront pour résultat de permettre à 200 participant·es de s’informer et d’échanger sur les enjeux futurs en matière de solidarité internationale.
  • Les Assises déboucheront sur plusieurs réalisations concrètes :
    • Une Déclaration finale des Assises, préparée en amont par les ateliers préparatoires et les instances de la coupole et de la fédération.
    • Sur base de la Déclaration finale, la Charte politique de la coupole sera actualisée et proposée à l’Assemblée générale. Elle permettra d’actualiser la vision et les valeurs de la coupole et de ses membres.
    • Sur base de la Déclaration finale, la vision de la fédération sera adaptée.
    • Sur base des résultats des Assises, les nouvelles stratégies à 5 ans (2027-2031) de la coupole, de la fédération et de la co-association seront élaborées.
    • La première journée académique débouchera sur la publication d’un ouvrage collectif reprenant les contributions des intervenants.

Infos pratiques

  • Les Assises se dérouleront à la Bibliothèque royale de Belgique à Bruxelles. L’entrée et l’accueil se feront via l’entrée secondaire située au 4 Boulevard de l’Empereur.
  • Les Assises sont ouvertes à tout le monde.
  • L’accès est entièrement gratuit.
  • L’inscription est obligatoire.
  • La langue de travail sera le français.
  • Un lunch est prévu sur l’heure de midi les deux jours.

Cet événement est complet !